NOTRE PROJET

La RSE, vous connaissez ? Au-delà d’une démarche environnementale, c’est l’engagement de nombreuses entreprises pour rester attractives face aux nouvelles attentes de leurs clients. Notre fédération doit évoluer vers ce modèle de gouvernance qui favorise la transparence, l’éthique, la responsabilité et la participation de toutes et tous afin d’atténuer les risques et d’améliorer sa performance globale de façon durable.

Faire progresser notre fédération de sa gouvernance centralisée vers un modèle décentralisé qui redonne du sens à sa mission en favorisant la démocratie, la transparence des décisions et la proximité au service de ses adhérents.

Disposer d’une fédération à l’écoute des besoins des femmes et des hommes qui la composent.

Mise en place d’un objectif et mesure par année de l’évolution sur les thèmes de proximité, de transparence et d’éthique auprès des dirigeants et des acteurs internes et externes de la Fédération.

La Fédération communique notamment depuis 2010 sur la protection de l’environnement et le développement durable (source FFE accueil 2024). Pour autant, chaque structure gère de façon isolée la mise en place de solutions environnementales sur les différents sujets : photovoltaïque, méthanisation, choix des sols des carrières, les contraintes d’arrosage…

 Accompagner les structures par la mise en place d’une cellule fédérale dédiée (en collaboration avec le ministère de la transition écologique et durable) pour identifier les sujets générateurs de développement durable, soutenir les structures dans leurs démarches et diffuser les bonnes pratiques issues des régions pour les diffuser plus largement.

Être accompagnés dans une démarche permettant de réduire les coûts d’exploitation et de s'inscrire dans une démarche environnementale respectueuse.

Mesure de la progression à 4 ans des actions menées. 

Nos structures associatives, ou les associations qui accompagnent les évènements dans nos structures privées rencontrent des difficultés croissantes pour attirer des bénévoles. La mobilisation humaine lors des J.O.P doit nous faire réfléchir sur la meilleure façon de mobiliser -sur le long terme- ces bénévoles passionnés.

Reconnaître et valoriser au niveau fédéral le rôle incontournable des bénévoles dans nos pratiques par la mise en place d’une cellule dédiée pour redynamiser les vocations. Ateliers transverses pour comprendre et identifier des solutions régionales et locales favorisant l’engagement durable des bénévoles dans notre sport.

Valorisation du rôle des bénévoles présents dans les structures pour un engagement à long terme.

Expérimentation des solutions et mesure de l’impact dans les structures.

Véritable sujet de société véhiculé sur les réseaux sociaux par des communications négatives ou des croyances qui mettent en péril la pratique de notre sport. Ce constat est encore plus présent au sein des structures équestres urbaines qui doivent trouver des solutions pour maintenir leur activité. Nous devons nous emparer du sujet au niveau fédéral afin de garantir la pérennité de notre activité dans nos structures et en compétition.

S’emparer du sujet du Bien-être équin dans l’espace médiatique pour exprimer la réalité des pratiques au sein de nos structures et affirmer notre volonté de progresser sur le sujet.

Une fédération acteur de l’espace médiatique pour affirmer nos pratiques.

Mesure des communications réalisées et de leur impact.

Accompagner les structures et les professionnels dans la communication autour du bien-être équin par la mise à disposition de supports et d’outils adaptés. Soutenir les structures par de nouveaux services pour établir et maintenir un dialogue positif sur le sujet.

Disposer d’un accompagnement fédéral avec des supports de communication et des outils fédéraux pour les soutenir et affirmer leur pratique.

Suivi du déploiement des supports / outils et retour d’expérience des structures.

Capitaliser sur les labels FFE existants pour définir un cahier des charges avec des experts sur le sujet du bien-être équin dans les structures afin de disposer de bonnes pratiques qui prennent en compte les contraintes d’exploitation. Le label nouveau format devra prendre en compte la localisation urbaine / rurale afin de donner du sens à la démarche d’amélioration visée.

Disposer d’une définition pragmatique dans sa mise en œuvre et opposable à des croyances.

Suivi du déploiement du Label Bien être équin.

Alors que de nombreuses fédérations sportives peinent sur le chemin de la parité, notre fédération représente le plus féminin des sports avec près de 85% de licenciées (source FFE 03/2023). Pour aller plus loin, 56% des dirigeants sont des dirigeantes (source FFE 03/2023) dans un contexte où elles représentent seulement 21% des chefs d’entreprise salariés en France (source INSEE 03/022). Qu’elles aient succédé à leurs parents pour reprendre l’activité ou qu’elles aient créé elles-mêmes leur structure, les femmes occupent majoritairement le terrain, sauf en compétition haut niveau ou le ratio s’inverse.

Faire connaître et reconnaître la modernité de notre sport. Communiquer, relayer plus largement le caractère unique de notre sport dans les médias grand public et auprès des instances politiques en territoire et au niveau national.

Valoriser et inscrire notre sport dans la modernité pour le rendre attractif auprès du grand public avec l’enjeu de capter de nouveaux pratiquants. 

Mesure de l’évolution des nouvelles licences d’année en année.

Le parcours équestre débute par l’éducation des enfants par le poney. Face aux scandales du milieu sportif, les parents sont soucieux de protéger leurs enfants et il est incontournable de prendre en compte leurs attentes de façon prioritaire.

Renforcer l’accompagnement des professionnels dans la lutte contre les violences sexistes et sexuelles dans nos structures et mettre en place un Label pour défendre un sport respectueux de celles et ceux qui le pratiquent.

Valoriser notre engagement d’un sport respectueux avec l’enjeu de redynamiser l’attractivité de notre sport.

Mesure du nombre de structures labellisées et mesure de l’évolution des nouvelles licences d’année en année.

L’effet post J.O.P met sur le devant de la scène la révolution du handicap, thème sur lequel il reste encore beaucoup à faire pour casser les silos et aller plus loin dans l’inclusion par le cheval.

Nommer un référent Handicap transversal au niveau fédéral et dans les organes déconcentrés pour piloter les projets. Il collaborera avec les autres fédérations sportives pour partager les bonnes pratiques.

Disposer de nouveaux services et produits tels que des galops et l’accès à la compétition pour les personnes en situation de handicap.

 Mesure du nombre de nouveaux services et produits, impact sur le nombre de licences.